Acheter un viager n’est pas sans risque pour l’acquéreur. En effet, le débirentier (l’acheteur) s’engage à payer une rente jusqu’au décès du crédirentier (le vendeur).
Les conséquences peuvent être lourdes s’il ne peut plus payer les rentes viagères.
Nous listons les différents risques auxquels un acheteur peut être confrontés.
Le risque d’impayés de l’acheteur d’un viager
L’acheteur peut ne plus être en capacité de payer les rentes du viager. C’est ce que l’on appelle le risque d’impayés des rentes.
Nous vous conseillons d’investir dans un viager dans vos capacités financières mais aussi d’épargner sur des placements pour vous constituer une réserve en cas de nécessité.
Vous pouvez également rajouter des clauses de rachat du viager pour faciliter la revente de celui-ci.
Le risque de longévité du vendeur
Le vendeur peut très bien vivre plus longtemps que son espérance de vie estimée. L’acheteur devra continuer à payer des rentes jusqu’au décès du vendeur. L’acheteur devra prévoir des solutions pour limiter le risque financier. Sachez toutefois qu’une longévité du vendeur n’est pas très grave puisque l’acheteur a payé le bien moins cher grâce à la décote d’occupation. De surcroît, si le bien a pris de la valeur, le risque s’en retrouve encore plus diminué.
Le décès de l’acheteur
Le décès de l’acheteur peut survenir avant celui du vendeur. Dans ce cas, il faut que l’acheteur décédé ait préparé une solution pour ne pas que les héritiers rencontrent des difficultés pour rembourser les rentes. Au risque de perdre définitivement le viager…