La vente en viager présente des risques pour le vendeur.
Il vend une partie de son logement : la nue-propriété, et conserve un droit d’habitation sur le logement jusqu’à son décès.
Généralement, l’acheteur va payer une somme d’argent comptant (le bouquet), puis des rentes chaque mois.
Nous listons ci-dessous les principaux risques auxquels vous vous exposez si vous souhaitez vendre en viager.
Les impayés de rentes viagères
Le risque d’impayé des rentes viagères est le risque le plus courant. Si vous ne sélectionnez pas scrupuleusement votre acheteur, il existe un risque qu’il rencontre des difficultés financières à l’avenir et ne soit plus en capacité de payer les rentes du viager.
Il existe des clauses à ajouter au contrat pour vous couvrir d’un éventuel risque d’impayé et pouvoir vous retourner contre l’acheteur. Dans ce cas, sachez que les procédures pour récupérer le bien en justice seront longues. Il est préférable dès le début de bien choisir et demander des garanties solides à l’acheteur !
En savoir plus sur les risques du vendeur en viager
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