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Vita Pecunia » Formation viager 7 jours » [6/7] Oubliez cette clause et cela vous coûtera cher !

[6/7] Oubliez cette clause et cela vous coûtera cher !

Bonjour,

Nous parvenons doucement à la fin de cette série sur la vente en viager.

Vous avez maintenant de bonnes notions pour envisager sereinement de concrétiser votre projet.

Dans le précédent mail, vous avez appris à déjouer l’erreur la plus courante lors de la signature chez le notaire.

Cette erreur qui touche l’acheteur et qui peut lui faire perdre des milliers d’euros.

Il s’agit de la base de calcul des frais de notaire.

Je vous ai montré comment la déjouer.

Lorsque vous en êtes à cette étape de la vente, vous allez signer un contrat. 

Comme dans tout type de contrat, les clauses écrites sont primordiales pour protéger à la fois le vendeur et l’acheteur.

Et si vous ne savez pas sur quel point vous devez être vigilant pour un viager…

Cela peut coûter cher, que vous soyez vendeur ou acheteur.

Des clauses à ne pas oublier, il y en a de nombreuses.

Mais il y en a une à intégrer absolument dans votre contrat.

Pourquoi ?

Parce que la pratique montre que 50% des contrats conclus ne la possède pas.

Ce qui génère des situations douloureuses financièrement et humainement.

Imaginez.

Vous vendez avec la formule du viager occupé, mais vous avez finalement besoin de soins quotidiens.

Il vous faut déménager dans une maison de retraite.

Et cela coûte cher.

Trop cher pour vous, la rente mensuelle n’est pas suffisante.

Vous devrez donc vous installer dans une institution qui ne vous convient pas.

Mais qui correspond à vos moyens.

Et si vous êtes l’acheteur, que se passe-t-il pour vous ?

Le vendeur a dû quitter son logement.

Logement qui donc est libre ?

Non.

Car vous n’êtes pas autorisé à récupérer l’habitation.

Même si personne ne l’habite.

Et vous ne pouvez pas non plus la louer.

Les conséquences ?

Une maison qui se dégrade, année après année.

Juste à cause d’une clause oubliée.

Il vous faut donc veiller à bien insérer une clause dite de libération anticipée.

Cette clause prévoit le cas où le vendeur libère le bien avant son décès.

Il renonce ainsi à son droit d’habiter son logement.

Et moyennant une majoration de la rente, l’acheteur peut prendre possession du bien.

Ainsi, si vous êtes vendeur, vous percevez en général une rente majorée d’environ 20 à 30%. Vos capacités financières ne sont donc pas amputées.

Si vous êtes acheteur : vous avez le droit d’habiter le bien ou de le louer. Tout en continuant à régler les rentes mensuelles.

Cette clause primordiale est détaillée dans le guide du viager.

Vous y trouverez toutes les informations pour sécuriser votre projet.

Je me protège avec le guide du viager

À très vite,

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